VISITE DE LA SAMARITAINE

Le grand magasin créé par Ernest et Marie-Louise Cognacq-Jay a enfin rouvert ses portes le 23 juin après 16 longues années de fermeture. Mêlant Art Nouveau et chic parisien, La Samaritaine est un véritable échantillon de l’Art de vivre à la française.
 
« Nous souhaitions créer un vrai lieu de vie où l'on peut passer la journée. L'offre de restauration est riche et variée avec douze espaces gourmands, comme la boulangerie qui se transforme en bar à vin le soir. Nous sommes aussi une adresse inclusive avec la possibilité de se faire plaisir quel que soit son budget. » soutient Éléonore de Boysson, présidente Europe et Moyen-Orient de DFS.
 
Sous la verrière extraordinaire se trouvent 5 étages regroupant plus de 600 marques. Côté mode, il y en a pour tous les goûts. On y retrouve les marques « habituelles » des grands magasins français telles que Rouje ou Maje, mais aussi les marques de luxe dont Céline, Dior ou Louis Vuitton.
 
L’enseigne réussit à passer avec brio de la parisienne chic au streetwear décontracté : un espace artsy sur deux étages met la culture pop à l’honneur avec des petits labels émergents triés sur le volet et des espaces créatifs proposant du sur-mesure. Par exemple, l’espace de customisation baskets gérée par le label tendance Shinzo.
 
Concernant la beauté, un étage entier avec le plus grand select store beauté d’Europe déborde de concepts pointus comme le corner Clean ou le spa 5 Mondes. Un salon de thé et une pâtisserie Dalloyau sont installés juste à côté pour les petites faims durant le shopping.
 
En effet, la gastronomie française n’est pas en reste à la Samaritaine. Il y a 12 espaces gourmands où l’on peut passer du sandwich « jambon-beurre-caviar » et créations de chefs étoilés à des petits paniers pique-nique à emporter et cocktails pointus et uniques crées par un mixologue audacieux, Matthias Giroud.
 
Accompagnant ces services très attractifs et variés, LVMH contribue également à la santé économique locale. Une crèche et des logements sociaux ont été construits et jouxtent l’espace de 70 000m² dédié à des bureaux et à l’hôtel « Cheval-Blanc » doté de 72 chambres.
 
Article du 29 juin 2021

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